Grâce à vous et aux autres Daevas, les Élyséens ont subi une sévère déculottée qui remet en question leur position de force.

L'Agent Mastarius et le Seigneur Marchutan vous adressent leurs félicitations. Marchutan a observé le déroulement de la bataille avec intérêt, vous savez.

Il serait intervenu si le besoin s'en était fait sentir, mais il a été satisfait de s'apercevoir que tel n'était pas le cas.


Comme nous tous. Et c'est votre dévotion qui me pousse à vous demander d'accomplir une autre mission difficile. Elle sera peut-être même plus périlleuse que la précédente.

Les Elyséens sont blessés et démoralisés. Ils ne seront pas en état de se défendre si nous lançons l'invasion d'Inggison.

Si vous accomplissez cette mission, je pourrai vous remettre un objet permettant d'améliorer la dague que je vous ai offerte précédemment.






Merci bien, Player.

Éliminez vite le général gardien du Temple de l'Ancien dragon et le général gardien de l'Autel de l'avidité.

C'est dangereux, mais je vous fais confiance pour mener cette mission à bien.

Je leur règlerais bien leur compte moi-même, mais je ne peux pas quitter mon poste.

Je vous souhaite bonne chance.
Vous avez fait du bon travail à Inggison, Player. Nos troupes ont déjà établi des garnisons dans les deux forteresses.

Maintenant, les Élyséens doivent connaître le vrai sens du mot terreur. Balauréa devrait bientôt nous appartenir.

Vous avez la Dague d'Athana ? Vous avez fait tout ça afin de pouvoir l'améliorer, après tout.


Je ne vous ai pas donné cette dague ? J'ai dû faire erreur.

Je ne mets pas en doute votre pouvoir, mais je crains que cette récompense ne soit réservée qu'à ceux qui disposent de la Dague d'Athana.

Ne m'en veuillez pas. Je trouverai une autre manière de vous récompenser de votre courage.


Vous n'avez pas la dague que je vous avais donnée, Player ?

Sans elle, la récompense que je vous ai promise vous sera inutile.

Si vous ne l'avez pas, je ne peux rien faire de plus. Veuillez revenir si vous la retrouvez.


Quel honneur. J'ai encore du mal à m'habituer au fait d'avoir donné mon nom à une arme. J'essaie d'accueillir avec humilité la confiance dont m'honore le Seigneur Marchutan.

Quoi qu'il en soit, notre but ultime est la démoralisation et l'anéantissement des Élyséens. Le reste est littérature.

Je vais voir où en est notre affaire. Si nos buts sont atteints, je vous donnerai de quoi améliorer votre arme.