Je vois que vous ne partagez pas mon inquiétude. Comment le pourriez-vous ? Après tout, vous êtes toujours vivant[f:"vivante"], vous.

Vous êtes-vous jamais demandé pourquoi je suis ici ? Pourquoi je n'ai pas rejoint le flux d'Éther ? Il y a une bonne raison à cela, voyez-vous. Lorsque quelque chose nous rattache trop à la vie, cela nous retient, après la mort.

Si Bollvig ne peut être convaincu d'abandonner, il errera lui aussi après sa mort, tout comme moi. Il ne mérite pas ça... Personne ne le mérite.


Il l'accepterait, s'il savait. Quoi qu'il en soit, ce qu'il désire importe peu. C'est une nécessité.

Il doit exister un moyen d'apaiser sa souffrance mais je ne peux me déplacer... Oh, quelle frustration !

Player, pourriez-vous m'aider à nouveau ? Je saurai me souvenir de votre gentillesse.


Merci. Je savais que l'Éther ne me mentirait pas. Retournez à Heiron et parlez encore à Bollvig.

Faites tout ce qu'il vous demandera de faire. S'il existe une chose qui puisse le libérer, il faut à tout prix qu'il l'obtienne.




Que faites-vous ici ? Vous cherchez quelque chose, ou est-ce que Betoni a réussi à vous persuader de revenir ? Ma patience a des limites, Player.




Betoni vous a demandé de m'aider ? Ah, s'il savait. La mort ne me fait pas peur, Player. En vérité, je l'attends même impatiemment.

Il doit s'imaginer que si vous m'aidez à tuer quelques Daevas, je rentrerai à Asmodae. Non. Cela ne suffira jamais.

Mais j'imagine qu'un peu d'aide ne pourra pas me faire de mal. Comme ça, vous n'aurez pas fait tout ce trajet pour rien.