Regardez-le. Teos. Sa mère, ma belle-sœur... morte... il est si courageux.

Je n'arrive pas à imaginer ce que ça doit être pour lui, pratiquement tout perdre à un si jeune âge. Je suis tout ce qui lui reste à présent et il est mon seul trésor.

Mon village a été englouti par le désert, Daeva. Toute une vie de possessions, de souvenirs, d'amis... disparus.
Tout excepté les vêtements que j'ai sur le dos. Nous sommes partis si précipitamment que je n'ai pas eu le temps de préparer mes affaires. Je n'ai pu prendre que mes boucles d'oreilles et un collier. J'ai même perdu ça maintenant.

Ce sont les lépharistes. Ils nous ont attaqués à une source, ont tué certains d'entre nous et obligé le restant à leur remettre leurs biens.

Ils n'avaient qu'une valeur sentimentale, je savais que je devrais les vendre à mon arrivée.


Non. Nous sommes des réfugiés et nous ne pouvons même pas contribuer. Nous sommes un fardeau sur les épaules d'Élyséa.

Pouvez-vous nous aider, Daeva ? Il faut que je récupère mon Collier[s] de perles roses et mes Boucles d'oreilles à perle noire. Nous pourrons ensuite survivre par nos propres moyens.




Ceux qui ont dérobé mes bijoux font partie des [plur]Patrouilleur[s] de la Garde lépharistes et des [plur]Garde[s] de la Garde. Ils sont postés près de la Source mystique d'Anathe.

Allez les combattre et récupérer mes biens. Je n'aime pas beaucoup devoir compter sur les autres, mais plus vite je pourrai me débrouiller seule, mieux cela vaudra.

Armes et foi.
Player ! C'est bien vous ?

Avez-vous trouvé mon Collier[s] de perles roses et mes Boucles d'oreilles à perle noire ? Je vous en prie, dites-moi que vous les avez. J'en ai assez de devoir compter sur les autres.


Non. Ce ne sont pas mes bijoux.

Veuillez retourner combattre les [plur]Patrouilleur[s] de la Garde lépharistes et les [plur]Garde[s] de la Garde jusqu'à ce que vous ayez trouvé mes biens.

L'un d'entre eux doit les avoir... c'est certain.


Vous... vous les avez trouvés ! J'ai hérité ce collier de ma mère, voyez-vous. Même après toutes ces années, il est toujours aussi éclatant.

Cela me fait de la peine de devoir vendre ces bijoux aux marchands. Mais ma mère aurait compris, et au moins, je perdrai mes biens par choix et non par destinée.

Vous n'imaginez pas ce que cela signifie pour moi. Mon présent ne pourra témoigner de ma gratitude, mais sachez que mes remerciements viennent du fond du cœur, Daeva.