Le travail d'un guérisseur d'âme est sans fin, Player.

Nous autres, Daevas, avons reçu le don de la vie éternelle. Nous n'avons donc pas à nous préoccuper des mêmes dangers que les Humains, mais l'immortalité a un prix.

Mourir épuise peu à peu l'âme. Chaque fois que nous mourons, nous perdons une partie de nous-mêmes. Le travail d'un guérisseur d'âme est donc de restaurer ce qui a été perdu. Pour la gloire d'Asmodae, nous suivons notre peuple, nos soldats et nos Archons dans les endroits les plus hostiles.


J'ai fait une inquiétante découverte, hier, en soignant des résidents blessés : nombre d'entre eux avaient été empoisonnés. Je peux soigner les blessures mortelles et guérir les âmes, mais combattre le poison est une autre paire de manches. Traiter un empoisonnement est bien plus difficile que de soigner des blessures reçues au combat. Et bien plus dangereux aussi.

La région compte plusieurs créatures venimeuses, et si nous pouvions nous débarrasser d'une partie d'entre elles, cela allégerait sensiblement la charge de travail des Archons.

Qu'en dites-vous, Player ? Pouvez-vous nous aider ?


Merci, Player.

Veuillez nous débarrasser des [plur]Kératou[s] langue-de-sel et des [plur]Scolopen[s] noire-queue qui rôdent dans les parages.

Leur redoutable poison est aussi dangereux pour les Humains que pour les Sapiens, mais pour un Daeva, les massacrer devrait être un jeu d'enfant.
Je peux guérir votre âme en un clin d'œil, mais les cicatrices mettent autrement plus de temps à disparaître. Évitez donc d'être blessé[f:"blessée"], Player.

Prévenez-moi quand vous aurez fini.


Merci, Player.

La région est désormais plus sûre pour les résidents. Les Archons vont pouvoir se concentrer sur des tâches plus importantes.

Les Kératous et les Scolopens se reproduisent à une vitesse alarmante... mais pour le moment, leur population est sous contrôle. Pensez néanmoins à revenir, car j'aurai peut-être à nouveau besoin de vos services.