J'aimerais que Motgar soit là. Je l'étranglerais.

Nous l'avons envoyé au Puits de sève, il y a quelques semaines. Sa paresse devenait insupportable. Il ne lèvera pas le petit doigt, sauf si vous êtes sur son dos. Pas très asmodien, tout ça, n'est-ce pas ?

J'irais volontiers le tanner mais j'ai trop de choses à faire ici. Notre armurier, Dalor, ne peut plus travailler parce que Motgar ne lui apporte pas la sève dont il a besoin.

Player, c'est bien ça ?
Ah ! J'ai entendu dire que vous aviez été le larbin de Vanar, pendant un temps. Heureusement, vous avez abandonné. Vanar est un incapable, tout ce qu'il sait faire, c'est rester dans sa tente et protester parce qu'il y fait trop sombre.

On raconte qu'il a envoyé un panier de fruits à Tobu, est-ce vrai ? Ce n'est pas franchement le genre de cadeaux qu'un vrai bandit comme Tobu pourrait apprécier.

Quoi qu'il en soit, Player... Le meilleur moyen d'acquérir un peu de prestige pour vos pairs et de vous faire remarquer par Ulgorn, c'est de vous porter volontaire. Il y a toujours à faire pour ceux qui cherchent à travailler, pas vrai ?




Je n'en attendais pas moins de vous. Motgar a besoin qu'on lui secoue les puces, pour qu'il retourne extraire la sève. Je suis trop occupé à gérer la défense du camp pour m'en charger.

Pourriez-vous le... "convaincre" de se remettre au travail ? Il se trouve dans la Forêt de Munihélé.

Vous ne devriez avoir aucun mal. Motgar est un faible. Rentrez-lui dedans et il s'aplatira comme une carpette.


Je sais que vous êtes arrivé[f:"arrivée"] il y a peu, mais vous commencez à faire illusion. Vous vous en sortirez, avec Motgar.

Voici le message à lui transmettre. Dites-lui qu'il me faut trois seaux de sève dans les deux prochains jours. Nos nouvelles recrues ont besoin d'armures, cette sève est donc primordiale pour nous.

S'il échoue, il ira rejoindre le royaume des esprits. Dites-lui cela aussi, si vous pensez que ça le fera réagir.
C'est Kaindal qui vous envoie ? Non, non, pas au visage, par pitié !

Écoutez, je travaille dur ! Les gens n'arrêtent pas de venir me tanner... Pourtant, j'ai les mains pleines de cornes et je ne dors plus... Ne me tuez pas !


Deux jours ? Deux petits jours ?

Savez-vous seulement combien de temps cela prend de... de... deux jours ? C'est tout bonnement impossible !

Écoutez, à ce compte-là, tuez-moi carrément. Comme ça, je me reposerai enfin.