Je suis ici depuis presque six mois et nous n'avons fait pratiquement aucun progrès.

Si nous avions respecté notre emploi du temps, le compte-rendu préliminaire serait terminé et nous pourrions commencer les travaux de restauration.

Si nous continuons à ce rythme, nous n'arriverons jamais à faire revivre Kurngalfberg.
Nous avons négligé la population de Worgs depuis beaucoup trop longtemps. Mais ce n'est pas le pire.

Ce qui nous pose vraiment problème, ce sont les fantômes. Tous ceux qui sont morts lorsque la ville est tombée hantent ses rues, à présent. Et ils n'ont pas l'air de se rendre compte qu'ils sont morts.

Or, les autochtones craignaient les étrangers. À présent, leurs fantômes nous attaquent.


Nous avons demandé de l'aide à la Forteresse de Beluslan et ils nous ont envoyé deux Archons. Deux !

Je comprends. Avec tous ces combats, deux, c'était déjà généreux. Mais cela ne suffit pas à lutter contre les fantômes, sans parler de la protection l'avant-poste.

Pourriez-vous prêter votre [%mainslotitem] et nous aider à nous défendre ? Votre réputation de bravoure vous précède.


C'est une bonne nouvelle, Player. Nous avons bien besoin de toutes les bonnes volontés.

Vos trois principales préoccupations doivent être les suivantes : les [plur]Guerrier[s] Spectreglace[s], les [plur]Mage[s] Spectreglace[s] et les [plur]Prêtre[s] Spectreglace[s]. Ce sont eux qui nous ont posé le plus de problèmes et ils sont donc notre priorité.

Tous se battent de manière différente. Vous devriez peut-être réfléchir à votre stratégie avant de descendre en ville.


Je n'arrive toujours pas à m'y faire. Je me souviens de cette ville lorsqu'elle brillait de mille feux et que ses rues étaient animées par une foule colorée. Tout cela est bien loin, à présent.

Mais je divague. Comment ça s'est passé ?




Je savais que j'avais raison de vous faire confiance. Nous allons pouvoir commencer à travailler sans être harcelés, à présent.

Veuillez accepter ceci. Vous nous avez aidés comme si cette mission reposait sur vos seules épaules. Je ne peux pas vous laisser partir sans un petit quelque chose en guise de remerciement.